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page 107
Je saisie son visage entre mes mains pour le forcer à me faire face. Il me lança un regard glacial. Ses pupilles se dilatèrent et je ressentie comme des picotements m'envahir la tête. Je compris aussitôt son intention et réunissais toutes mes forces pour...
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Page 99
Il fit à nouveau face à moi toute en arborant la même esquisse, avant d'effacer celui-ci pour une expression plus sévère. - Il serait bon qu'on parle de ce qu'il s'est passé tout à l'heure. - En effet ! sonnais-je en me redressant sur le lit, vous êtes...
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Page 106
Mais pourquoi ma vie était-elle aussi compliquée ? Je sortie de mes songes sous le regard inquisiteur d'Ethan. - A quoi pensais-tu ? - Ha ha ! j'ai retenu la leçon, c'est chiant de ne pas savoir, n'est-pas ? Il se contenta de répondre par un haussement...
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Page 102
Il me considéra un instant avec le même sentiment de fierté qu'un père et je n'appréciais guère cette vision presque incestueuse. - Est-un mal ? - Non. c'est tout simplement incroyable ! J'avais toujours ressenti cette différence et là, je la discernais...
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Page 107
"C'est ce que tu désires vraiment ? car si tu m'arrêtes pas maintenant j'ai peur de ne plus pouvoir me contrôler plus longtemps…j'ai tellement envie de toi Winona" dit-il de sa voix mentale. Je lui répondis d'un simple sourire. "Qui a plus peur de ce...
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Page 109
Perdue, abasourdie, je repris conscience à travers l'extase et l'odeur du sang me parvint aux narines et je réalisais soudainement qu'Ethan c'était planté les crocs dans l'avant-bras, au moment où, il m'avait rejoint dans l'orgasme. J'arquai les sourcils....
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Page 112
Sur ses bonnes paroles, j'avais raccompagné Lex jusqu'à la porte d'entrée. Au moment où, il voulu me prendre dans ses bras j'eue un geste de recul, comme si je refusais qu'il me touche. Réalisant mon acte, j'en restai ahuri et le bouillonnement d'énergie...
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Page 110
Je sentie une main chaude me caresser le visage et me lover contre elle pour en savourer le délicieux contact sur ma peau. - Je me suis permis de faire couler du café et le petit déj' est servie, me susurra-t-il à l'oreille avant de m'embrasser dans le...
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Page 111
Je me sentais rougir, repensant à ce qui avait suivi. Je relevai les yeux de ma tasse de café pour les poser sur Lexan et souris bêtement. Il me tendit la main, que je saisie avant de m'asseoir sur ses genoux. - J'espère que tu ne regrettes pas ce qu'il...
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Page 108
Je sentie sa langue glisser à nouveau sur mon corps - sa bouche embrassait mes seins l'un après l'autre avec une extrême sensualité. Ses mains posaient sur mes épaules me maintinrent contre lui et avec célérité il pénétra en moi. Je ne pus m'empêcher...
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Page 27
Je me voyais flotter dans les airs comme si mon esprit avait quitté mon corps. L’environnement dans lequel j’errais m’été totalement inconnu, tous dans cette pièce refléter une époque qui n’était pas la mienne, me donnant l’impression d’une vite guidée...
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Page 28
Il roula sur le sol juste à côté du cadavre et s’allongea en chien de fusil. Quand il reprit connaissance, un relent lui donna la nausée, se redressant sur ses coudes, ses yeux s'écarquillèrent d'horreur, s’avisant du corps inerte à ses côtés. - HO SEIGNEUR...
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Page 30
Cette nuit là, j'avais perdue définitivement mon identité, Winona Callegan n’était qu’un leurre. Est-ce la raison la raison pour laquelle mes parents légitimes m’avaient abandonnés ? Qui était-il ? Je devais le revoir cet Ethan Gaylord, mais comment le...
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Page 29
Je couru dans la salle de bain et me jetant à genoux devant le toilette pour vomir, ayant à mon tour le goût horrible du sang dans ma bouche. Je me relevai, titubant jusqu’au lavabo pour attraper ma brosser les dents et me les laver avec un acharnement...
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Page 31
Le soleil commençait à se coucher quand j’ouvris à nouveau les yeux. Je me sentais étrangement bien, apaisée et seul un refrain inconnu jouait à la guitare envahissé mes pensées. Edwige avait due comprendre que je voulais rester seule, j’en éprouvais...
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Page 20
En arrivant au parc, les autres étaient déjà là. Ils étaient installés sur une immense couverture en molleton noir, la tête levée en l‘air. Le ciel était dégagé, avec peu de nuages, de millier d’étoiles scintillantes, on pouvait distinguer les constellations,...
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Page 18
Le calme était pesant, pas un bruit dans les alentour. Cela était plus rare dans le quartier, mais la plupart des habitants avaient désertés les lieux pour les vacances. D’habitude nous aussi nous étions déjà parties à ce moment de l’année, mais la perceptive...
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Page 19
Arrivé au restaurant, Emérence et Charles étaient déjà installés à la table, mais j’eu la surprise de constater qu’ils n’étaient pas seuls - Ne serait-ce pas ta tante avec eux ? me demanda Edwige avec un petit sourire malicieux. - Je poussais un long,...
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Page 21
Quand une silhouette sorti de l’obscurité je déglutie regrettant mon franc parlé, s’il ne m’arrivait rien je me jurais qu’à présent je me mordrais la langue avant d’ouvrir la bouche, le battement de mon cœur s’accéléra rythment comme un tambour sourd...
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Page 22
Mon agacement se fit entendre par le tapotement de mon pied sur les gravillons. - tu n’es pas comme eux, Winona. - j’en ai assez entendu ! Alors écarte-toi de mon chemin ! Lui ordonnais-je. En le contournant pour rejoindre ma voiture, il m’attrapa le...
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Page 23
Je dormais d’un sommeil profond, persuadée qu’il ne s’agissait que d’un mauvais rêve. Cet homme étrange, au physique qu’il ne pouvait-être que le fruit de mon imagination, de mes fantasmes les plus secrets. Winona ! Réveille-toi ! Une voix raisonnait...
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- J’ai tué mon père ! M’annonça-t-il de manière sardonique. - HO MON DIEUX ! Hurlais-je Je me trouvais dans la même pièce qu’un assassin. Le même qui me disait quelques minutes plus tôt de ne pas avoir peur… de lui faire confiance. Frappée de frayeur,...
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- mes amis doivent être inquiets et mes parents… - ne t’en fais pas pour eux, ils vont bien, répondit-il sûr de lui - comment peux-tu en être aussi sûr ? - je le sais. J’essayai tant bien que mal de me ressaisir et d’arrêter de renifler, effaçant du revers...
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page 39
A cette pensée j’exultais. Je m’obligeais à ne plus respirer, jusqu’au point de suffoquer, je le sentais se torturer, combattre la pression que j’exerçais à présent, jusqu’à ce qu’il se plie à ma volonté. L’étau de ma mâchoire se desserra, Ethan retira...
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page 40
Au moment où il ouvrit la bouche, je crus avoir cette explication mais il n’en fit rien. - Peux-tu m’aider de nouveau ? Je me pinçais la lèvre inférieure pour ne pas céder à la tentative du chantage. - Oui bien sûr. acquiesçai-je - J’ai besoin de ton...